On parle trop souvent du bonheur. La seule chose qui toujours nous enivre Se banalise dans sa douceur.
Chez l'homme civilisé, la crainte de ses morts n'a rien de commun avec le mysticisme des primitifs. Elle est un retour de flamme de sa conscience, un déguisement de ses remords.
Un couple, à moins d'un très grand amour, cela devient deux fois soi-même, et c'est insupportable.
La nouvelle génération n'ose plus dire qu'elle fait des chansons : on fait des "titres". Je ne sais pas s'ils sont cotés en Bourse !
Je n'aime pas les richesses indécentes et non gagnées. Mais il est légitime pour un entrepreneur qui a créé quelque chose de bien gagner sa vie.
- J'ai un gros problème. Oui, j'ai un gros problème. Un problème d'ordonnance. - Vous prenez de la drogue ? - Caféine. Nicotine, Kétamine. GHB, PCP, LSD. Diazépam, lorazépam. Tous les trucs en « pam ». Pas de discrimination - Apparemment non. Code jaune au 6e étage. Ne bougez pas. J'appelle le médecin. - Et un cappuccino.
Dieu n'est que l'image de quelque chose, principe, force, idée, esprit, volonté, que nous ne pouvons concevoir ni nommer.
Le goût frénétique de l'homme pour toutes les substances saines ou dangereuses, qui exaltent sa personnalité, témoigne de sa grandeur. Il aspire toujours à réchauffer ses espérances et à s'élever vers l'infini.
A tous les repas pris en commun, nous invitons la liberté à s'asseoir. La place demeure vide, mais le couvert reste mis.
