Le temps n'est plus où les ministres claquaient du doigt, et ça obligeait tout le monde à changer. (...) Ce n'est pas au ministre de décider des méthodes de lecture.
A chaque époque ses solutions, mais ses solutions fortes, volontaires, déterminées.
C'est la demande la plus raisonnable qui soit au monde que ne point vous blâmer pour ce qui n'est point de votre faute.
Il faut éclairer l'ignorance qui ne connait pas et la pauvreté qui n'a pas les moyens de connaître.
La mort est le compagnon fidèle de l'alpiniste. On y pense sans cesse, on la côtoie, il faut s'y habituer.
Quand les gens sont intimidés d'avoir leurs propres opinions, l'oppression est à portée de main.
Le problème avec un système purement collectif est non seulement qu'il nécessite une croissance économique, et le bon type de tendances démographiques, mais qu'il empêche les gens de penser à leur avenir de manière responsable.
Il faut combattre le terrorisme comme s'il n'y avait pas de négociations, et négocier comme s'il n'y avait pas de terrorisme.
S'il existe une solitude où le solitaire est un abandonné, il en existe une où il n'est solitaire que parce que les hommes ne l'ont pas encore rejoint.
Les avancées permises par ce paquet sont nombreuses. Elles concernent les consommateurs en leur proposant de meilleurs services à des prix plus justes. Les télécommunications sont caractérisées, en effet, par leur impact sur la vie quotidienne et jouent un rôle social évident comme vecteur de développement et de croissance.
Lorsque les femmes prospèrent, toutes les sociétés en bénéficient, et les générations futures ont un meilleur départ dans la vie.
