Aujourd'hui, je suis préparé à toute situation.
Un kimono, c'est pas juste un bout de tissu, c'est une arme de guerre.
Subir, c'est se mettre une pression monstre sur les épaules. Quand je suis arrivé en équipe de France, j'ai de suite vu que certains anciens ne feraient pas de médailles. Ça se voyait rien qu'à leur regard. Je ne dirais pas qui mais, sur leur visage, il y avait marqué pression.
On n'a rien sans rien. Si on ne se met pas la misère à l'entraînement, si on ne se force pas à repousser les limites, on ne va nulle part.