Les impôts vont progressivement baisser, mais la priorité, c'est de transformer les choses.
Une femme regarde toujours un homme comme un homme. Avoir connaissance de la contrariété des sexes, c'est nécessairement en être troublé.
Je me suis donné un objectif, être le deuxième président de Corrèze et enfin le successeur de François Mitterrand.
La France ne s'en sortira pas en alignant ses salaires sur ceux des pays émergents.
Ces gens sont devenus complètement cinglés. Ils font de la politique avec de l'argent et des ordinateurs.
Nous devons développer une sorte d'héroïsme politique. Je ne veux pas dire que je veux jouer le héros. Mais nous devons être à nouveau prêts à créer de grands récits.
J'accuse les équipes de droite depuis 2002 de démolir sciemment et méthodiquement le système éducatif républicain pour orienter les gens vers les systèmes privés.
J'ai une loyauté personnelle envers François Hollande. Je lui dois de m'avoir fait confiance et de m'avoir nommé au gouvernement. En même temps, lorsqu'un président nomme quelqu'un ministre, il le fait parce qu'il pense que c'est bon pour son pays, pas pour en faire son obligé.
Il y a deux sortes de bergers parmi les pasteurs des peuples : ceux qui s'intéressent à la laine et ceux qui s'intéressent aux gigots. Aucun ne s'intéresse aux moutons.
Le problème avec un système purement collectif est non seulement qu'il nécessite une croissance économique, et le bon type de tendances démographiques, mais qu'il empêche les gens de penser à leur avenir de manière responsable.
