Il est bon d'apprendre à mourir Par volonté, non d'un coup traître : Souffre-t-on ? c'est qu'on veut souffrir ; Qui sait mourir n'a plus de maître.
La faiblesse humaine est d'avoir Des curiosités d'apprendre Ce qu'on ne voudrait pas savoir.
Travailler, comme vivre, comme aimer, n'était-ce pas avant tout apprendre à s'ouvrir aux autres...
L'histoire est un outil d'appréhension du monde qui devrait nous apprendre à vivre le présent et à comprendre l'avenir. Sinon, elle ne sert à rien.
Celui qui ne sait rien croit enseigner aux autres ce qu'il vient d'apprendre lui-même ; celui qui sait beaucoup pense à peine que ce qu'il dit puisse être ignoré.
Il faudrait bien comprendre que le rôle de l'école est d'apprendre aux enfants ce qu'est le monde, et non pas leur inculquer l'art de vivre.
Nous devons passer par certaines choses pour apprécier la vie et apprendre des leçons.
Chaque fois que l'homme fait une nouvelle expérience, il apprend toujours plus. Il ne peut pas apprendre moins.
La vie, c'est apprendre à surmonter les marées qui menacent de nous engloutir, surnager toujours.
La mort. Cela ne s'apprend pas. On ne peut apprendre que ce qu'on peut répéter. La mort est un fait unique et un fait brut. A partir du moment où on ne croit pas à un au-delà ou à une réincarnation, il ne reste plus qu'à accepter le néant.
