Une fois de plus se pose l'éternelle question : est-ce Dieu, est-ce le diable qui gouverne le monde ? Et seule une foi injustifiable permet d'affirmer que finalement le diable est au service de Dieu.
Je me rends compte que, même si je suis un personnage public, c'est l'expérience la plus solitaire que j'aurai jamais vécue. Je suis seul face à la mort. C'est finalement une position très zoulou...
C'est toujours les voix qui restent, au final, c'est aussi toujours par elles que ça commence, une voix plus une oreille ; deux fils de soie impalpables et un pavillon !
La télévision est un média finalement assez grossier, qui a toujours privilégié l'émotion.
Vie en société. Finalement il n'y a que deux espèces d'hommes : ceux qui s'en veulent et ceux qui en veulent aux autres.
J'ai eu trois éducations : la rue, l'école, la Bible ; c'est finalement la Bible qui compte le plus. C'est l'unique livre que nous devrions posséder.
Je crois, finalement, que je préfère les hommes âgés parce que sur leurs traits on peut lire la souffrance.
Les masses sont l'élément décisif, elles sont le rocher sur lequel sera construite la victoire finale de la révolution.
Le principe de finalité n'est pas constitutif mais régulateur.
La preuve finale de l'omnipotence divine, c'est que Dieu n'a point besoin d'exister pour nous sauver.
N'est-ce pas toujours ainsi que cela commence ? D'abord l'envie, puis le besoin d'écrire et, finalement, l'oeuvre littéraire qui apparaît à mesure qu'on se raconte.
N'en déplaise aux imbéciles, la France ne sera méprisée dans le monde que lorsqu'elle aura finalement perdu l'estime d'elle-même.