J'ai quitté Paris à cause de ma femme !
La télévision est un média finalement assez grossier, qui a toujours privilégié l'émotion.
La solution recherchée, on la découvre souvent tout près de soi, alors pourquoi chercher l'incertain, l'impossible. Les abus conduisent-ils toujours à l'abîme ?
Chacun est, dans ce monde, heureux à sa manière.
La vraie question est peut-être de se demander qui est passif du téléspectateur ou de la télévision. En y ajoutant que, peut-être, ceux qui jugent le téléspectateur trop passif ne regardent pas souvent la télévision.
Toute la ruse des bonnes consciences revient à donner au pauvre comme une gracieuseté ce qui lui est dû comme un droit.
La télévision, reflet du monde, est à la fois source et miroir des informations.
Aujourd'hui, il vaut mieux présenter la météo à la télévision qu'être sociétaire de la Comédie-Française.
Si les peines détruisent le bonheur, les plaisirs le dérangent.
A la télévision, on n'a jamais le contrôle, ni à l'image, ni au montage, ni pendant la promotion. L'acteur est un objet.
Le langage est le confessionnal du peuple.
L'ennui est une maladie dont le travail est le remède ; le plaisir n'est qu'un palliatif.