On n'aime plus lorsque les sacrifices coûtent ; on aime peu lorsqu'on s'aperçoit qu'on en fait.
En politique comme en amour, il n'y a point de traités de paix, ce ne sont que des trêves.
J'ai beaucoup appris depuis que je vais à l'étranger. Il faut s'ouvrir sur le monde.
Aujourd'hui, le terme de "scandale" est banalisé. A la télévision, sur Internet, dans les livres, tout le monde déballe son linge sale avec moult détails. Plus rien ne choque vraiment.
La télévision ne produit pas de stars. Elle porte momentanément au pinacle de la notoriété, des journalistes et des animateurs. Que ces vedettes quittent leur emploi, elles sont vite oubliées.
Ceux qui sont dangereux, ce sont les hommes ordinaires, les fonctionnaires prêts à croire et à obéir sans discuter.
C'est cela l'enfer : une grande salle vide, et nous qui n'en pouvons plus d'être debout.
Je pense que quand on a atteint un certain âge et une carrière professionnelle, c'est le rêve de tout cuisinier que de transmettre son savoir.
La télévision, on ne peut pas la regarder. Quand on est debout, on ne la regarde pas. Quand on est assis, on s'endort.
